Catégorie : ACTUALITE DE LA PAROISSE Page 1 of 30

Budget Participatif 2025

Votez du 4 au 23 septembre !

La 11e édition du Budget participatif aura lieu du jeudi 4 au mardi 23 septembre.
Votez pour le projet :

19e arrondissement / Culture et patrimoine Coup de projecteur sur notre patrimoine remarquable

Ou dans les urnes mises à disposition par la Mairie du 19ᵉ. Une urne sera présente sur le parvis de l’église Saint Jean-Baptiste de Belleville.

Il va vous falloir vous inscrire avec une adresse mail et un mot de passe sur le site de la Mairie

Chrétiens d’Orient, passeurs d’espérance

à l’église Saint Jean-Baptiste de Belleville (19ème)

Exposition

Du 16 juillet au 4 septembre

Entrée libre, 9h-20h

Les Églises orientales existent depuis le début de notre ère. Elles sont nées aux premières heures du christianisme par la prédication des apôtres, à partir de Jérusalem, et se sont étendues dans l’Empire romain et au-delà, jusqu’en Perse, en Inde, en Éthiopie….
Les chrétiens d’Orient sont les descendants de ces premiers chrétiens. Ils appartiennent à différentes Églises orientales, qui regroupent des réalités plurielles, des histoires mouvementées et des rites très diversifiés.

Cette exposition est une invitation à découvrir leurs 2000 ans d’histoire et à témoigner de la richesse de cette diversité. Les chrétiens souffrent aujourd’hui des crises qui secouent l’Orient. Par leurs œuvres, ils agissent pourtant au quotidien dans l’éducation, la santé et le patrimoine. Leur présence même est essentielle pour préserver le vivre-ensemble et la paix souvent menacés dans la région.

Un gros pot d’Amour

A l’orée de ces grandes vacances je m’apprête à quitter mon travail – dans la joie car c’est un choix et que je rejoins un beau projet solidaire à la rentrée. Quitter un travail n’est jamais anodin. Quitter un poste de direction d’une association que l’on a montée, une équipe constituée, des adhérents mobilisés et mille défis surmontés est quelque peu abyssal. Mais quand l’heure des aurevoirs arrive, il faut savoir les vivre entre transmissions, pot de départ et dernier séminaire.

Dans ce contexte, un mot est ressorti très souvent : AMOUR. « C’était plein d’amour », « Qu’est-ce qu’on s’est aimés » … Une anthropologue qui suit l’association a par ailleurs fait le constat que dans notre réseau, « il y a de l’amour qui circule ». Très bien me direz-vous ! Très bien sauf que dans le milieu professionnel, « l’amour » n’est pas un concept très valorisé. Trop mièvre, pas assez technique, trop… catho ? Et tout le monde se trouvait comme encombré de cet Amour, mi-heureux, mi-gêné. 

Ce dont je peux vous témoigner, c’est que dans ce milieu ultra sécularisé, à 90% athé, l’Esprit Saint soufflait si fort qu’il a décoiffé plus d’une certitude. Avec ma grille de lecture de croyante, la présence du Christ parmi nous était d’une évidence folle, folle comme mon envie d’hurler « Mais enfin, c’est Jésus tout ça ! » 

Je crois avoir pris le micro et dit que « Oser revendiquer l’Amour au travail c’est proposer une vraie contre-culture dont notre société a plus que jamais besoin ».

Oui, la société se déchristianise, oui des mutations inquiétantes et identitaires se donnent à voir y compris dans nos propres rangs. MAIS : de nouveaux catéchumènes nous rejoignent jour après jour et nos parvis comme notre société sont pleins de « révolutionnaires de l’Amour » qui font vraiment, à leur échelle, l’œuvre de Dieu. Le Seigneur les reconnaîtra. Et nous ? Bon été, dans la Paix du Christ,

Aline

LE PELERIN : Le vin, tremplin du divin

Un bel article dans Le Pèlerin dans sa chronique La Foi en Action :

Une histoire avec le Seigneur

A l’approche des vacances d’été, je vous propose une histoire, lue dans une coupure de journal que j’ai retrouvée tout à l’heure, en quête d’inspiration pour mon texte dans la rubrique ‘‘Regard de l’Autre’’. Cette histoire pleine d’humour, intitulée ‘‘Dieu, le coiffeur et la souffrance’’, recèle plus de sagesse et de profondeur qu’il n’y paraît…

Dans un salon de coiffure, un homme est en train de se faire couper les cheveux et tailler la barbe, et pendant que le coiffeur s’occupe de lui, la conversation va bon train. Ils en viennent à parler de Dieu. Le coiffeur dit : « Moi, je ne crois pas que Dieu existe. » « Qu’est-ce qui vous fait dire cela ? » lui demande alors le client. « Eh bien ! » dit le coiffeur, « il suffit de sortir dans la rue pour constater que Dieu n’existe pas ! Si Dieu existait, il n’y aurait pas tant de gens malades et handicapés, tant de malheureux abandonnés, sans abri ou en prison, il n’y aurait pas tant de douleurs et de souffrance partout. Je ne peux pas imaginer un Dieu d’Amour qui laisserait faire tout ça. »

Le client, ne sachant quoi répondre et préférant ne pas trop contrarier le coiffeur, qui tourne autour de lui, toujours équipé de son rasoir, garde un silence prudent. Peu après, en quittant le salon de coiffure, il rencontre à quelques mètres de là, un vagabond hirsute, assis sur le trottoir, cheveux et barbe sales et vêtu d’habits rapiécés, à qui il donne une pièce. Puis il retourne voir le coiffeur et lui dit tout de go : « Les coiffeurs n’existent pas»

L’autre, surpris, lui répond : « Comment pouvez-vous dire ça ? Je suis là en tant que coiffeur, dans mon salon, et je viens de vous couper les cheveux, et de rafraîchir votre barbe… » Mais le client insiste : « Non, les coiffeurs n’existent pas. S’ils existaient, il n’y aurait pas tant de gens avec des cheveux hirsutes et des barbes sales, comme ceux de cet homme-là, à deux pas de votre salon ! » Indigné, le coiffeur s’écrie alors : « Mais les coiffeurs existent ! S’il est dans cet état, c’est qu’il ne vient pas me voir ! » « Exactement ! » dit le client « C’est comme pour Dieu ! Quand les gens ne vont pas le voir, ne croient ni à Ses soins, ni à Son secours, alors il y a des douleurs et de la souffrance partout ! »

‘‘Aller voir Dieu’’, c’est prier ! Et prier, nous le pouvons partout : que ce soit à Saint Jean-Baptiste de Belleville ou dans une autre église, que nous aurons peut-être la chance de visiter pendant ces vacances, ou encore dans le secret de notre solitude ou dans les rues de Paris quand nous y serons… Prier… aller voir le Seigneur… nous le pouvons toujours. C’est notre devoir de vacances, notre devoir de chrétiens. Et cet été, prions surtout pour ceux qui ne partiront pas et devront supporter la chaleur de la ville, pour tous ceux qui souffrent, partout dans le monde, surtout dans les pays accablés par la guerre, la misère et les persécutions.

Marie

Page 1 of 30

Fièrement propulsé par WordPress & Thème par Anders Norén